Post à RP !

Ha ha je vous ai bien eu !

RP = Role Play sur ce post

Comme quelques Anciens ont envie de faire "bruisser la plume sur le velin" *
j'ouvre ce post à RP pour vous laisser délirer suivant votre humeur.

Pour ouvrir le bal, je met le lien d'un post JOL que j'avais trouvé très sympa, ou plusieurs joueurs ont décrit leur classe favorite d'une façon très RP : Le Feu de nos âmes

Soyez indulgents vis à vis de ma prestation, somme toute très médiocre par rapport à certains qui ont un réel talent de conteur...

thufyr a écrit:

Tapis dans l'ombre j'entends au loin les rumeurs des combats,
Je vérifie mes dagues encore dégoulinantes dans leurs étuis,
j'ajuste mon paquetage, et ressere mes chausses, abaisse ma houpelande,
le moindre bruit, le moindre éclat pourrait m'être fatal...

Lentement je m'approche, à pas feutré, d'un coin de l'oeil je surveille la patrouille,
pendant que mes doigts experts cherchent des prises le long de la muraille.
Profitant des joints qui s'effritent et des pierres mal ajustées, je me hisse au sommet.
Au-dessus de ma tête, l'air crépite d'énergie, alors que des nuées incandescentes s'abbattent sur mes compagnons.

D'un seul coup, je le vois, il est là, ma cible, mon ennemi, drappé dans ses robes rouges,
Les mains encore fumantes, un rictus déformant son visage démoniaque alors qu'il ravage nos rangs.
Je contrôle ma respiration, ma main se resserre sur mon stylet, j'attends le moment propice pour frapper...

Il vient de me tourner le dos, mon poul s'accèlére, je n'entends plus que les battements de mon coeur
Je sens la chaleur, il se prépare à incanter un de ses sorts dévastateurs...
VITE... je le frappe à la gorge, son sang chaud m'éclabousse, plus rien n'existe autour de moi.
Je n'ai qu'une seule idée, lui faire payer la mort de mes camarades même si c'est au détriment de ma vie.
Je frappe encore, je sens son corps qui se raidit, il tourne vers moi ses yeux fous avant de s'effondrer...

Une brulure intense dans mon flanc, une autre dans mon dos, les flèches sifflent autour de moi...
Je cours, fuite éperdue vers le salut des remparts..
Je prends mon élan pour sauter, malgré la douleur.

Tout est rouge, je me sens plus léger qu'une plume, je flotte...
J'ai accompli mon devoir, ma tâche est remplie, l'honneur est sauf.
Tout devient noir, pendant que mon corps calciné et criblé de flèches s'écrase sur le parapet.

(*) Celui qui trouve une contrepéterie, je lui offre une chopine à la taverne de la Rose d'or à TNN

Dernière édition par le Ven 12 Oct 2007 - 16:33, édité 2 fois

Bon je vais me remettre a ecrire...
Donc apres mon intro "Ne pas se laisser impressionner" qui est devenu un flood general je m en vais refaire un petit truc sympa a dans quelques jours

en ce beau matin dans les vertes prairies d'hibernia, une petite firbolg vu le jour.... mais tout ce qu'elle se rappela si ce n'est que ces parents s'etaient battu afin d'aider le royaume, n'etait que son petit nom, Kalyna.

Envahit de haine , colere, et de tristesse, elle decida d'aider au mieux ces amis elfes, lurikeen et celtes a vaincre les demoniaques albionnais et ses tueurs midgardiens. Elle choisit donc la voie de la nature afin de prodigué les meilleurs soins a ses compatriotes.

Vaguant de terre en terre, elle rencontra un ami elfe clovancis qui l'aida a s'entrainer a la dure tache qu'est soigneurs. Mais ce clan qu'elle rejoingnit perda petit a petit ses membres au fil des combats acharnés contre albion et midgard.

Mais un jour, la confrerie des anciens proposa alors une union afin de s'entraider et ensemble, essayer de vaincre leurs ennemis communs. S'en suit un nouveau clan, rempli d'amour et d'aide, ce qui reconforta la petite kalyna des terribles epreuves qu'elle avait subit petite.

Elle put alors montrer ses competences et son devouement totale envers ces nouveaux mentor, Bigfoots et Grosbill, qui l'avait acceuili comme leur enfant. Mais le temps passa, petite kalyna grandit et tomba eperdument amoureuse de maitre grosbill.

Durant son parcours dans les diverses terres boisées, elle rencontra un jour un jeune celte du nom de tilgar, et la, le coup de foudre arriva. Le choix fut dur entre grosbill et tilgar, mais elle choisit tilgar qui lui assurait un devouement affectif total et des sex toy a n'en plus savoir qu'en faire.

Mais pour ne pas rendre son premier amour triste, elle decida de creer le kalyna's harem afin d'acceuillir les males delaissés et offrir du bonheur aux femmes de sa contrée.

C'est ainsi que tout les habitants d'hibernia purent vivre d'amour et d'eau fraiche, avec ce petit sourire malicieux au coin des levres .....

je n'ai fait que m'incliner et céder la place devant le charme de Tilgar Le Tombeur, alias Sex Toys

Grosbill

La nuit tombe sur Dommlan et déjà les premières étoiles viennent illuminer le grand ciel nuageux d’hibernia. Les derniers marchands se dépêchent de rentrer chez eux, jetant des coups d’œil inquiets par dessus leur épaule. Peu à peu, ce sont les gardes royaux eux-mêmes qui se retirent. Le tourbillon de la vie se fait de plus en plus discret et les dernières rumeurs du jour s’évanouissent enfin.

Comme chaque soir, Elle est là. Au milieu des brumes, impalpable et pourtant bien réelle. Cela fait des mois que nous nous observons en silence. Camouflé dans les ombres, personne d’autre qu’Elle ne me voit ni ne peut pénétrer la noirceur des songes qui me hantent. Mais si je n’y prends garde, un jour Elle me rendra fou. Alors que je commence à me perdre dans mes pensées, un bruissement me tire soudain de ma torpeur. C’est le pas étouffé d’une jeune femme, mes longues veillées solitaires m’ont appris à le reconnaître immédiatement. Brusquement, elle m’apparaît dans un rayon de lune. Elle est originaire de mon pays et sa peau est blanche, d’un blanc presque transparent. Entre ses mains tremblantes, elle semble tenir fermement un bâton de thaumaturge. Mais elle est blessée aussi, et ses yeux effarouchés se perdent dans des appels au secours au milieu des ténèbres environnantes. Elle n’est qu’à quelques pas de moi et son parfum déjà m’enivre. Je peux presque entendre le bruissement de ses cheveux et les palpitations de son cœur. D’un geste de la main, je pourrais même la toucher... L’arôme de la tension nerveuse, la fragrance du sang vivant. Je peux presque en sentir le doux nectar.

Mon dieu… que suis-je en train de devenir ?

Elle titube dans la brume, les mains ensanglantées, cherchant désespérément du regard un abri sur. La cadence croissante de son pas me rends fou. L’espace d’un instant, ses yeux croisent les miens, mais elle est aveugle a ma présence. Je ne ferai rien, enfin je l esperais. Son sort est déjà scellé, même si elle l’ignore encore. La Dame est parfois capricieuse, mais Elle ne laisse jamais s’échapper ceux vers qui Elle a tourné son regard, je ne le sais que trop bien, depuis tous ces soirs où j’assiste impuissant à la même tragédie. Et pourtant, cette nuit là est différente des autres et je pressens quelque chose de nouveau dans la brume glacée de la ville. Sans m’en rendre compte, je me suis lentement rapproché de cette jeune Albionnaise, comme hypnotisé par le va et vient bruyant de sa respiration. Ma main est crispée sur le pommeau de mon épée et mon cœur bat a m’en rompre la poitrine. Je sais que c’est contraire a toutes les lois de ma guilde et que je risque ma vie à prendre la sienne mais les ténèbres semblent à ce moment obstruer toutes les voies de ma raison tandis que la force maléfique qui s’est emparé de moi me pousse à présent en avant. Sans un bruit, je tire lentement mon épée de son fourreau, mon bras tremble. Dommlan est désert et personne ne pourra jamais savoir ce qu’il s’y est passé. Elle doit mourir je le sais, et c’est à moi de l’accompagner dans son dernier voyage…

Mais alors que mon bras s’abat sur elle, un sifflement aigu vient déchirer le silence de la nuit. La jeune thaumaturge s’affaisse d’un coup et tombe entre mes bras invisibles, une longue flèche noire fichée dans la poitrine. Mon geste suspendu en l’air, je me retourne stupéfait, comme brutalement tiré d’un rêve, juste a temps pour le voir s’éloigner au loin. A la démarche, je reconnais un des lointains habitants du cruel royaume Midgardien. En un instant, le temps du claquement d’une corde, la magie de la nuit a été brisée et je reste seul, à découvert, la gorge serrée, avec ce cadavre ensanglanté entre mes bras. Ses yeux se sont fermés et son beau visage est calme a présent. Mais alors que les premiers rayons de l’aurore percent au loin, la fascination laisse peu à peu la place a l’horreur tandis que mon esprit reprend enfin le dessus. Mon dieu, qu’ai-je fait ? Comme d’habitude, les gardes ne vont pas tarder à arriver, et alors il me faudra être loin. J’assiste encore une fois impuissant à ma fuite à travers la campagne, droit devant, loin de cette ville encore à moitié endormie et des démons qui l’habitent.

Mais je sais que j’ai beau fuir, partout Elle me retrouvera. Partout où je me réfugierai, Elle sera là, patiente, attendant la moindre faiblesse de ma part pour m’ensorceler à nouveau. Et je sais aussi que demain, je ne pourrais plus cette fois prétendre au cauchemar, ni me réfugier dans l’alcool, à la vue du blason de ma guilde souillée du sang d’une innocente. Il me faudra alors fuir un moment les miens afin de ne pas éveiller leur soupçons.

Je sais tout cela car c’est Elle qui me le dit. Ainsi va ma vie......

Je suis seul.

Très joli
Attendez que je trouve le temps de répliquer

Niark Niark

Magnifique encore !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

merki ct un ancien texte BG que sophox et certains connaissent que j avais sorti il ya fort longtemps

La suite !!!!!!!!!!!!!!!

Rosen Citrono need lire vos chefs d'oeuvre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

cherche une inspiration

Aliyanole Curufinwe a écrit:

pff le ding à 2 pièces de cuivre sur un tel post

(c'est juste pour flood pour atteindre les 1400)

[en cette période Dark Age of the Flood, je préfère fusionner que guérir]

Mais je peux aussi rollisé

La nuit tomba sur la citadelle Kobold. Une forme silencieuse se glissa dans l'ombre et incanta figeant la sentinelle. Aussitôt une immense ombre écrasa le garde, toujours sans bruit. Un sort luit un instant. S'étant assuré qu'il n'y avait pas de piège l'elfe entra en territoire Kobold. Il surpris d'abord un groupe qui se réchauffait autour du feu. La masse qui l'accompagnait écrasa de ses poings les kobolds paralysés.

Toujours en évitant de donner l'alerte il poursuivit sa progression et arriva près d'une tente. Ah ils étaient là. Il attendit un instant, et pu de nouveau faire regrossir son allié. Il chargea alors, surprenant le camp. Le combat fut vite inéquitable, l'elfe générant une boule de feu centré sur lui qui massacrait tout kobold un peu trop téméraire en un coup ou deux. l'allié se chargeait du reste
"Encore raté!" Siffla l'elfe en regardant le contenu du coffre. l'objet qu'il cherchait pour le dessus de sa deuxième cheminée n'était pas là. "Je l'aurai jamais celui là! Non il ne vaut pas 5PP, je repasserai une autre fois!

Il s'éloigna rapidement avant que l'alerte ne se propage et arriva enfin à
son vrai but. l'entrée d'une grotte se précisait.
Il vainquit les quelques kobolds egaré et entra silencieusement, sans remarquer une ombre encore plus profonde qui le suivait dans la nuit.

"il va falloir jouer plus subtil ici, ces gardiens ne sont pas des jeuneux" pensa-t-il.

Il vérifia que tout était près, refis plusieurs sur sur lui et son allié et après avoir mesuré la situation, envoya l'allié vers le plus proche. Aussitôt les 3 autres gardes coururent vers l'elfe, essayant d'ignorer l'allié qui en intercepta un au passage. L'elfe incanta rapidement et réussi à immobilisé les deux derniers. L'allié pu alors bloquer les deux derniers gardes. l'elfe incanta et se concentra sur le bouclier mortel qui allait réduire en charpies les kbolds imprudents

"c'est chaud comme situation, l'allié ne va plus très bien" murmura une ombre à l'elfe.
L'elfe faillit en perdre sa concentration. Mais pas le temps il brisa le bouclier le temps de soigner un peu l'allié et recommença sa concentration.
"Toi! espèce d'idiot! j'ai faillit perdre le pet avec tes aneries!" Siffla-t-il.
Un kobold tomba. L'elfe ressoigna l'allié.
"Oh je ne voulais pas déranger, je souhaitais juste passer" répondit l'ombre en s'éloignant. Arrivé au niveau de l'allié il backstabba un kobold affaiblit qui s'écroula.
Le mage profera un juron entre ses dents mais resta concentré . il resoigna le pet. Un deuxième backstabb rapide et l'ombre poursuivit son avance en ricanant. Il était passé grace au mage...

Le dernier kobold eut raison du pet, mais l'elfe avait anticipé. Un rapide rayon de lumière l'anéanti. L'elfe les fouilla rapidement, toujours grommelant contre l'ombre et avança rapidement vers son objectif du soir.

"Plus d'allié?" murmura l'ombre.
"Tu fais un sacré fouineur!"
"Mais tu es toujours vivant et fouiné est mon métier"
Le mage aussi les épaules "je devrai être reconnaissant aussi je suppose, une part du trésor aussi?"
"Juste une lame, tu connais mon prix"
"ça tombe bien je ne collectionne pas les lames"
"ça sera un autre soir, toute sa clique et là et ce n'est pas ton pauvre pet qui fera la différence"
"3 soirs! il exagère là. Bon teleport avant qu'il ne s'aperçoivent de notre présence"

Un worg renifla l'air avec suspiscion mais déjà les deux elfes avaient disparu dans un léger reflet.
Le chef kobold sourit en apercevant l'air se tordre sous l'effet de la téléportation "et tu peux revenir aussi souvent que tu veux, j'aurai toujours ma garde avec moi désormais, plus de possibilité de la disperser. Je mangerai de l'elfe tous les soirs !"

Dernière édition par le Mar 18 Juil 2006 - 11:57, édité 1 fois

Lol joli texte, tu as oublié de préciser que l'ombre elfe était un "marchand"

Ah bon Ombre n'a pas systématiquement la spe "Marchand "?

L’éclair zébra dans le ciel noir. Le tonnerre claqua un coup. Le vent soufflait faisant voler la poussière dans les ruines du château. Autour des ruines, des badots couraient pour se protéger de l’orage qui allait faire rage. Certains se précipitaient dans leur voiture stationnée. Le quartier se vida pour devenir désert.

Dans la cour abandonnée du château, l’herbe se couchait sous la force de la brise. Soudain, une immense boule d’énergie apparût, le tonnerre gronda à nouveau plus fort. La boule continuait de s’agrandir. Dans l’intense lumière, huit ombres apparurent. La lumière se fit plus intense pour devenir aveuglante. Un éclair frappa le sommet du donjon délabré, des pierres tombèrent dans la cour. Certaines roulèrent dans leur chute vers la sphère lumineuse, se faisant pulvériser au contact de celle-ci.

Un nouvel éclair toucha enfin la boule. Elle explosa en balayant tout sur son passage. L’herbe fût carbonisée à la base. Une averse se mit à tomber dans la cour, les gouttes de pluie s’évaporaient au contact du sol surchauffé.

Au milieu du cercle brûlé, des petits éclairs crépitaient autour de huit corps inertes. Ils étaient habillés de vêtements ressemblant aux armures que portaient les chevaliers. Mais ils étaient plus richement décorés. Certains possédaient un grand bâton, d’autres boucliers et épées. Un nouvel éclair frappa le groupe faisant disparaître comme par enchantement leurs tenues et leurs armes. La pluie se fit plus forte. La chaleur diminua progressivement. L’eau lutta quelques secondes sur les crépitations des éclairs pour enfin gagner la bataille. La main d’une des jeunes femmes qui composaient le groupe bougea légèrement. Elle se mit à trembler au contact de l’eau. La main serra enfin la boue qui se créait autour du groupe.

La jeune femme se leva en titubant. Elle regarda autour d’elle. Son visage apeuré montrait une vive inquiétude. Elle ne reconnaissait pas les lieux autour. Son regard se porta vers les ruines du donjon. Son cœur se glaça. Elle reconnut le donjon. Elle vit ses compagnons allongés à ses côtés. Elle constata qu’ils étaient vivants, simplement évanouis. Elle se baissa pour essayer de réveiller la plus proche personne. Son geste se figea, elle ne reconnaissait pas du tout la jeune femme.

Elle prit peur et s’enfuit. Elle arriva dans la rue. Traversant sans regarder, une voiture l’évita de justesse. Le chauffeur ouvrit sa fenêtre et insulta la femme qui courrait. Se retournant à peine, elle vit l’homme lui parler. Pourtant elle ne comprenait pas les mots qu’elle entendait. Elle réalisa qu’elle ne comprenait pas du tout le langage. Effrayée, elle se mit à courir à nouveau.

Les portières claquèrent, plusieurs hommes se mirent à la poursuivre.

Dans sa folle course, des images de combat revenaient constamment dans la tête de la jeune femme. Pourtant elle ne se souvenait de rien. Un coup de tonnerre claqua à nouveau. La jeune femme traversait les flaques d’eau. Les hommes qui la suivaient ne pouvaient pas la rattraper. L’un d’eux lâcha : « elle file comme le vent c’te garce ».

La fugitive tourna dans une rue sombre, des images défilaient encore dans sa tête. Elle se voyait soignant ses compagnons au milieu de vertes plaines. Ses souvenirs revenaient peu à peu. Elle était druide, dévouée à la nature. Elle pouvait guérir les blessures, et même défier la mort en ramenant à la vie.
Elle stoppa nette, la rue débouchait sur un cul de sac, les hommes s’approchaient au loin derrière elle. La pluie redoubla…